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- festival : This Is Not A Love Song présente Beau Weekend au Paloma à Nimes - les premiers noms (jusqu'au 28 juin)
le 27/06/2025
Beau Weekend, nouveau temps fort de Paloma et Come On People, inspiré de l’ADN du festival This Is Not A Love Song.
Paloma, en partenariat avec Come On People, annonce le lancement de Beau Weekend, événement singulier qui viendra s’ajouter à l’héritage de This Is Not A Love Song. Ce nouveau festival se positionne comme un spin-off audacieux de TINALS, offrant une perspective différente dans le paysage des festivals de musiques actuelles. Beau Weekend s’inspire de l’ADN du festival TINALS devenu malgré lui un élément mythique de l’histoire de Paloma. Les musiques indépendantes toujours comme fil conducteur, autour des esthétiques pop, folk, rock et musiques extrêmes telles que défendues durant les 7 années d’existence du festival. Ces musiques alternatives qui se nourrissent également des tendances hip-hop, groove ou jazz, ces groupes qui réinventent les codes seront au cœur de cet événement, en mettant l’accent sur la découverte artistique et l’intimité entre les artistes et le public.
-Un spin-off de This Is Not A Love Song tel qu’il existait en 2014 : Beau Weekend repart en 2014, année charnière dans le développement de This Is Not A Love Song, pour raconter une nouvelle histoire, parallèle à celle du festival originel. Ce spin-off se détache de l’idée préconçue d’une grande production. Il ne s’agit pas de répéter ce qui a déjà été fait, mais de proposer un nouveau chapitre, un nouveau souffle, où la volonté de créer une expérience authentique l’emporte sur toute logique plus "commerciale". Pas d’autre objectif que de prendre du bon temps, d’offrir une bulle de liberté, un espace de joie, à l’abri du chaos d’un monde incertain, parfois inquiétant, il faut bien se l’avouer. Ainsi, comme en 2014, Paloma et Come On People proposent une trentaine de groupes sur la scène extérieure Flamingo aux accents estivaux bucoliques, la grande salle, Main Room, chaude et enivrante, l’intime Club Deville, et le Patio si singulier dans sa proximité avec le public. Une installation intime, plus spontanée, moins stéréotypée, où tout est pensé pour se mélanger, échanger et se rencontrer.
-Un événement sans compromis, de l’émotion comme priorité : Beau Weekend s’émancipe de la nécessité de présenter des têtes d’affiche ou de jouer sur la popularité des groupes. Ce n’est pas une question de notoriété, mais de propositions artistiques riches et audacieuses. Notre ambition est de créer un temps d’émotion unique, une alchimie particulière entre les artistes et le public, sans se laisser guider par les attentes habituelles. Ce qui compte, c’est la connexion et l’authenticité. Si vous ne connaissez pas la majorité des artistes proposés, c’est déjà pour nous un petit pas de gagné, car notre désir est simple, que vous repartiez de cette expérience en vous disant « ce groupe était incroyable, je ne le connaissais pas et je me suis pris une énorme claque ! ». En 2025, soyons donc curieuses et curieux.
-Une nouvelle histoire inspirée du mouvement de pensée "Small is Beautiful" : Beau Weekend fait sien le courant de pensée "Small is Beautiful", tel qu’exprimé par l’économiste britannique Ernst Friedrich Schumacher. Nous revendiquons un retour à des événements plus intimes, plus intenses et plus sincères, à taille humaine, où chaque instant compte, où l’intimité des échanges entre artistes et public est au cœur de l’expérience. Nous avons donc considérablement réduit la jauge : uniquement 3 000 billets seront mis en vente pour chacune des soirées du festival. Pas de tarification dynamique non plus, pas d’inflation sur les prix, ceux-ci resteront stables jusqu'à l’épuisement des places proposées. Soyons réactives et réactifs, les places sont limitées et tous les billets sont en vente dès le 6 mars.
-Un événement à la fois local et universel : Beau Weekend se déroulera dans l’intimité de Paloma et de la respiration bucolique de son "jardin éphémère", lieu devenu iconique pour les musiques émergentes en France, mais qui invite aussi à un voyage plus lointain, à une exploration de nouveaux horizons artistiques. Tournée vers l’Europe, bien évidemment, nourrie par la scène anglo-saxonne assurément, pimentée par les scènes d’Amérique du Nord (USA & Canada/Québec), la programmation fera quelques excursions par l’Amérique Latine, l’Afrique et l’Asie. En intégrant les valeurs de proximité (circuits courts et produits de saison pour le bar et la restauration), de partage et de respect du public dans toute sa diversité, cet événement se veut être un laboratoire d’émotions, une plateforme où l’humain est au cœur de l’expérience avec des espaces ludiques et de détente, fun ou impertinents comme nous aimons le proposer, avec toujours une attention particulière pour la tolérance et bienveillance.
-Une programmation libre et expérimentale : Les artistes programmé·es lors de Beau Weekend sont des créateurs et créatrices audacieuses, qui ne craignent pas de prendre des risques. La diversité et l’expérimentation sont au cœur de ce nouveau rendez-vous. Beau Weekend se veut être une plateforme ouverte aux talents émergents ou artistes de niches, une scène où des univers musicaux variés se croisent et offrent au public des moments inoubliables. Nous faisons le choix de propositions artistiques qui créent une vraie rencontre entre l’artiste et le public, qui vont au-delà de l’aspect "show" pour offrir des expériences collectives fortes et authentiques. Pas de "grandes révélations artistiques" à dévoiler en annonçant un groupe par jour, au compte-goutte, pour faire saliver dans les prochaines semaines. Soyons patientes et patients, la programmation sera révélée fin mars, jeune, attentionnée à l’émergence d’artistes féminines, curieuse et pleine de promesses.
*Infos pratiques : Nom de l’événement : This Is Not A Love Song propose Beau Weekend ou Beau Weekend / Tinals ou encore TINALS (c’est vous qui décidez)
Dates : 27 et 28 juin 2025 de 18h à 2h
Lieu : Paloma, Nîmes (int. & ext.)
Billetterie : thisisnotalovesong.fr / paloma-nimes.fr (sans frais de location) ou tous points de vente habituels (avec frais)
Tarifs : jour 42 €/38 € - 2 jours 70 € Programmation : au moins 30 artistes internationales et internationaux à découvrir dès le 25 mars
4 scènes : Flamingo / Main Room / Club Deville / Patio
Le petit + pour les fidèles : réservations fortement conseillées ;)
Informations, modalités d’hébergement ou d’accès : thisisnotalovesong.fr / paloma-nimes.fr / info@paloma-nimes.fr
-Les premiers noms : *Girl Ultra (le 27/06) : COCKTAIL INDÉ et R'N'B servi par la GEN X de MEXICO CITY Basée à Mexico, Girl Ultra est considérée comme une des artistes les plus innovantes de son pays, grâce à son habileté à mélanger r’n’b, rock indé, musiques électroniques et latino. Ses performances sur Tiny Desk, KEXP, Colors Berlin, Boiler Room ou dans des festivals tels que Primavera ou Coachella ont forgé sa réputation de performeuse, et sa capacité à s’émanciper de toute contrainte de style ou de genre.
*BDRMM (le 27/06) : Fusion de SHOEGAZE & ÉLECTRONIQUE sur un beat lourd et lancinant. Avec Microtonic, bdrmm opère une mue éclatante : plus libre, plus électronique, plus audacieux. Sans renier ses racines shoegaze, le groupe mêle désormais nappes ambient, beats dansants et collaborations inattendues dans une démarche résolument collective. Né d’un sentiment post-pandémique d’étrangeté et d’angoisse, l’album se nourrit d’influences allant de David Lynch à Thom Yorke, tout en affirmant une identité propre, dense et sincère. Porté par des titres comme Infinity Peaking ou Lake Disappointment, Microtonic est une déclaration d’indépendance artistique, un manifeste à la fois introspectif et euphorisant : celui d’un groupe qui sait enfin ce qu’il veut être.
*Tea Eater (le 27/06) : c'est NY, c'est FUN, c'est DIY, c'est TEA EATER ! Qui a dit que la fin du monde ne pouvait pas être fun ? Avec ses performances frénétiques et ses hymnes punk surréalistes, Tea Eater, mené par Tarra Thiessen (Gustaf, Sharkmuffin), s’impose comme le groupe d’art punk new-yorkais à suivre absolument. Leur premier album Obsession est une fête névrotique et libératrice, et sur scène, c’est une explosion d’énergie DIY imparable.
*Ditz (le 28/06) : "Le meilleur groupe de BRIGHTON, SINON DU MONDE" - JOE TALBOT (IDLES) Quintet explosif venu de Brighton, Ditz façonne un son grunge, névrotique et bruyant. Encensé par Joe Talbot (Idles) et révélé avec The Great Regression (2022), le groupe s’est forgé une solide réputation sur scène. Leur second album Never Exhale (2025), écrit en tournée, puise dans la fureur de Jesus Lizard, les signatures rythmiques de Shellac et l’esprit de The Fall. Un rock tendu, intelligent et incarné par le magnétisme de leur leader Cal Francis.
*Kadavar (le 28/06) : Tantôt DOOM, parfois PSYCHÉ mais toujours KADAVAR ! Kadavar, pilier du rock psyché berlinois, revient en quatuor avec une formule affinée et une énergie viscérale. Entre stoner 70’s et rock contemporain, le groupe mêle puissance brute et lumière intérieure, dans une quête sonore toujours plus libre. Sur scène, leur intensité hypnotique embarque le public dans une expérience immersive et fédératrice. En 2025, soutenus par Clouds Hill, ils poursuivent leur odyssée musicale, fidèles à leur vision : faire du rock un langage universel.
*Party Dozen (le 28/06) : Déflagration sonique pour percussions et saxophone VOL.1 Le duo australien Party Dozen revient avec Crime In Australia, album aussi accrocheur que chaotique, entre énergie brute et expérimentation débridée. Saxophone furieux, percussions explosives, grooves industriels et éclats shoegaze composent une bande-son pour une série policière imaginaire. Le disque oscille entre titres dansants et tempêtes sonores, confirmant l’approche radicale et ludique du duo, qui transforme ses "idées stupides" en pépites bruitistes jubilatoires.
*Hotwax (le 28/06) : 1 pincée de HOLE, 3 brins de 90'S pour un cocktail très hot HotWax, trio originaire de Hastings-via-Brighton explore la vie à travers une intensité brute. Après avoir tourné avec Royal Blood et Frank Carter & The Rattlesnakes, et joué aux festivals Reading & Leeds et All Points East, le groupe vient de sortir son premier album, Hot Shock, chez Marathon Artists. Enregistré en live aux RAK Studios de Londres avec une équipe de production exclusivement féminine, ce disque capture l'énergie explosive du groupe, mêlant hymnes remplis d'adrénaline et vulnérabilité. HotWax incarne l’avenir du rock britannique.
*Friedberg (le 28/06) : De la pop champagne, véritable machine à danser. addiction instantanée garantie. Mené par l’autrichienne Anna Friedberg, le groupe entièrement féminin distille un savant mélange de post-punk, d’alt-rock et de pop hypnotique. Révélées avec le titre « Go Wild » (bande-son de FIFA 2020 et de la série Normal People), elles enchaînent depuis les tournées européennes et américaines, des premières parties de Hot Chip ou Placebo, et des festivals comme Eurosonic ou Haldern Pop. Le single « The Greatest » confirme leur énergie électrisante et leur sens du groove contagieux, taillé pour les grands espaces et les étés sans fin.
*Jan Verstraten (le 28/06) : Une pop groove gorgée de SOUL & de VIOLONS, pour danser, s'envoler. Jan Verstraeten, c’est la pop dans ce qu’elle a de plus libre, de plus artisanale et de plus singulière. Biberonné au DIY punk dans les caves de Gand, il en a gardé le goût de l’indépendance farouche : il compose, produit, peint, filme, grave, sérigraphie… et invente à chaque projet un monde à part. Sa musique est un terrain de jeu sensible où la douceur se frotte à l’étrangeté, entre bandes originales fantasmées, rêveries seventies et pulsations disco mélancoliques. Avec Wolfman, nouveau morceau en clair-obscur, il continue de brouiller les pistes et les genres, quelque part entre art brut et élégance pop.
*Mercy (le 28/06) : Entre MOTOWN et MODERNITÉ, les nouveaux virtuoses de la SOUL. MERCY, c’est la rencontre du producteur Barney Lister et du chanteur Kojo Degraft-Johnson autour d’une soul moderne et engagée. Inspirés par Marvin Gaye, Sault ou Khruangbin, ils créent un espace musical empreint de sincérité, de compassion et d’émotion brute. Issus de milieux culturels différents, Barney (Obongjayar, Rina Sawayama) et Kojo (Cleo Sol, Little Simz) unissent leurs parcours pour façonner une œuvre à la fois intime et collective, un refuge sonore où se mêlent héritages soul, gospel et culture sound system. MRCY célèbre l’appartenance, la guérison et l’envie de créer du lien.
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