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- projections : De l'affiche à l'écran / Le Brésil à la Fondation Jérôme Seydoux - Pathé (jusqu'au 12 juillet)
le 14/05/2025
-De l'affiche à l'écran (Du 14 mai au 10 juin 2025) :
Pour illustrer – en salle et en musique – l’exposition « Faire impression, quand l’affiche de cinéma s’invente », la Fondation Pathé propose un programme de films en écho aux affiches exposées. Les maîtres de la fiction bénéficient d’une place de choix à travers leurs longs métrages et leurs serials. Ainsi seront montrés tous les épisodes des Misérables (Albert Capellani, 1913 et Henri Fescourt, 1925), La Roue (Abel Gance, 1923), Tao (Gaston Ravel, 1923), Gossette (Germaine Dulac, 1923), Fanfan la tulipe (René Leprince, 1925) et Belphégor (Henri Desfontaines, 1927). Les différents chapitres de l’exposition seront représentés au sein de plusieurs programmes. Une occasion rêvée de compléter la visite en suivant des aventures pleines de rebondissements ou en redécouvrant les chefs d’œuvre du cinéma Pathé de l’époque du muet en version restaurée.
-Le Brésil (Du 11 juin au 12 juillet 2025) : Rétrospective Le cinéma muet brésilien Rétrospective Alberto Cavalcanti, un Brésilien à Paris
Dans le cadre de l’année Brésil – France 2025, la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé dédie sa dernière programmation de la saison au Brésil. Ce ne sera pas une mais deux rétrospectives qui célèbreront ce pays et son histoire fascinante aux couleurs et aux rythmes joyeux. Le cinéma muet brésilien, peu connu du grand public, sera mis en lumière à travers une rétrospective inédite et fascinante qui vous fera découvrir des joyaux cinématographiques. Un deuxième cycle exposera l’œuvre muette du cinéaste Alberto Cavalcanti, réalisateur brésilien cosmopolite qui a travaillé à Paris. De nombreuses séances seront présentées par des spécialistes du cinéma brésilien et les films seront accompagnés au piano par les élèves issus de la classe d'improvisation de Jean-François Zygel (CNSMDP). Enfin, trois projections événements en ciné-concerts seront proposées les 17 juin, 1er juillet et 11 juillet pour accompagner les films d’Alberto Cavalcanti (En rade, 1927), Mario Peixoto (Limite, 1931) et Rodolfo Lustig et Adalberto Kemem (São Paulo, a symphonia da metrópole, 1929).
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