- expo : Identités plurielles à la Ellia Art Gallery à Paris

le  21/05/2025   au 19, rue de Turenne, 75004 Paris

Mise en scène de s artistes avec des oeuvres variées écrit par ou plutôt créé par Assylem, Joachim Romain, Mauro Maugliani et Paul Gallaud



Quatre artistes, quatre galeries, quatre regards singuliers sur la création : Assylem, Joachim Romain, Mauro Maugliani et Paul Gallaud.

Des générations différentes, des disciplines variées, un même élan : celui de la diversité artistique.

*Mauro Maugliano :
Diplômé de l’Académie des Beaux-Arts de Rome, Mauro Maugliano est un artiste italien né à Tivoli en 1967. À travers ses œuvres conceptuelles, il interroge la complexité des relations humaines et l’aliénation contemporaine.
Ses anti-portraits saisissants mettent en scène la perte d’identité dans nos sociétés modernes, où la peau devient symbole, et le code-barres tatoué une métaphore de l’uniformisation mentale face au changement social.
Ses œuvres sont à découvrir lors du vernissage le 21 mai en sa présence. La soirée sera animée par la Dj Elisa (@noctilope sur Instagram) et vous assisterez également à une performance acoustique d’Iris Aeria (@Irisaeria sur Instragram ).

*Assylem :
Peintre, designer et sculpture, ASSYLEM est une artiste française née en 2001 originaire d’île-de-France, elle mêle nudité et pop art pour explorer les émotions, la beauté de l’anatomie humaine et les codes visuels de notre époque.
C’est en 2019, au sein de la classe d’art plastique de son lycée, qu’Assylem découvre sa passion pour l’art sous toutes ses formes. Elle s’immerge dans l’étude de l’anatomie humaine, une fascination qui imprègne profondément son travail. Après avoir obtenu un baccalauréat scientifique, elle décide de se consacrer pleinement à l’art. Autodidacte, elle se perfectionne dans son atelier, expérimentant divers médiums comme l’acrylique, l’aquarelle et la gouache avant de tomber sous le charme des huiles, son matériau de prédilection.
Inspirée par des figures comme Egon Schiele, Denis Sarazhin, Shane Wolf et Andy Warhol, ASSYLEM crée des œuvres vibrantes qui marient émotions intenses et palettes de couleurs éclatantes.
En 2021, elle organise son premier solo show, « Body Soul », dans le marais à paris, une exposition explorant le corps féminin et ses multiples résonances sociales.
Aujourd’hui ASSYLEM oriente son travail vers une réflexion sur la génération Z, les dynamiques des relations sociales et l’identité collective, en mêlant son univers pop réaliste à l’esthétique des années 2000 : Magazines, publicités et culture visuelle de cette époque.
Ses œuvres, entre tradition et modernité, captent l’esprit d’une génération à la recherche de sens dans un monde hyperconnecté.

*Joachim Romain :
Joachim Romain est un artiste français né en 1973 au Havre.
Il est baigné dans l'art dès la plus tendre enfance, grandissant dans une maison où les murs étaient remplis de toiles classiques ou contemporaines. Il découvre d'autres formes artistiques comme la photographie quand on lui offre son premier appareil à l'âge de quinze ans et des univers différents comme celui du graffiti lors de son arrivée à Paris à l'âge de dix huit ans.
L'environnement direct dans lequel il évolue dans sa ville natale le fascine et ses premières séries seront fortement inspirées par des thèmes de l'usure et de la typographie urbaine (urban typo).
Après un passage par le milieu de l'imprimerie, son travail est fortement empreint de l'univers de la publicité par le biais des bases de la typographie et des maquettes, et il a possiblement développé un certain penchant pour l'utilisation du papier. En effet, il conçoit ses œuvres à partir d'affiches publicitaires. Il réalise des portraits par le biais d'affiches publicitaires, questionnant ainsi le cycle de vie de ces dernières.
Il travaille sur la base de photographies qu'il déchire, découpe ou brûle, les transformant ainsi en œuvres uniques qui prennent parfois la forme de sculpture. Il associe sa fascination pour le portrait photographique et son attirance pour les clichés urbains afin de créer des portraits d'homme, d'icônes artistiques, politiques ou encore publicitaires qui ont été mis à l'épreuve du temps et de la vie urbaine.
Travaillant également in situ, il arrache des bouts de portraits d'affiches dans la rue afin de créer des sortes de fresques murales, sublimant ainsi les portraits en question, qu'il rend à la rue sous une forme imposante, comme une renaissance.
Son travail a été présenté à l'occasion de nombreuses expositions personnelles et collectives en France et à l'étranger comme à Miami ou Bruxelles.

*Paul Gallaud :
Paul Gallaud est un artiste visuel français né en 1984 qui vit et travaille à Croix, près de Lille. Après avoir obtenu un BAC STI Arts appliqués à l'Institut Saint Luc de Tournai, en Belgique, il a poursuivi sa carrière avec un master en design Products. En 2020, il a l'opportunité de développer une collection de vases et d'objets pour un musée français. Ses œuvres ont été exposées dans différentes galeries en France et à l'étranger, notamment au musée Eugène LeRoy, chez Abcynt et à la galerie bruno massa. En tant qu'artiste visuel, son travail s'inscrit dans des courants tels que l'abstraction géométrique, l'Op Art et l'in-situ. Il explore la matière en jouant avec le mouvement et les formes géométriques, créant des compositions dynamiques et évolutives. Sa démarche s'inspire de séquences logiques ou aléatoires. Chaque transformation suit une organisation algorithmique. Son objectif est de créer une dimension contemplative, en invitant le spectateur à interagir avec l'œuvre et à y apporter sa propre interprétation. Il cherche ainsi à offrir une expérience onirique et introspective, où l'observateur devient un acteur essentiel de l'œuvre.

-A propos de Ellia Art Gallery :
La galerie représente des artistes émergents et confirmés, remarquables par leur démarche, leur technique et leur approche créative. Si la ligne artistique de la galerie est éclectique, elle reste résolument ancrée dans l'urbain et l’art contemporain, s’alliant régulièrement avec des galeries, des festivals ou des médias (Urban Art Fair, Le Musée en Herbe, Urban Soul, Technikart...) pour amplifier l’attractivité de son programme et faciliter l’accès à l’art au plus grand nombre.