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- livre : 40 ans à la barre – de Tabarly à l’Hermione, les carnets d’un marin reporter de aux éditions Glénat

le  04/09/2019  



Tout à fait dans l’esprit de ces incroyables existences et autres expériences qui pourraient être adaptées au cinéma.

Depuis quarante ans, il navigue avec les plus grands, participe aux événements maritimes incontournables, s’intéresse aux dernières relèves de phares… Quarante ans d’une passion immodérée pour la mer que Bernard Rubinstein partage avec nous dans ce livre exceptionnel.
Bernard Rubinstein aime naviguer. Une passion illustrée dans de nombreux reportages pour lesquels il a embarqué avec les grands noms de la voile : Éric Tabarly bien sûr, avec qui il participe à la première course autour du monde en 1973, mais également Alain Colas, Olivier de Kersauson, Titouan Lamazou, Mike Birch, Loïck Peyron, Philippe Poupon, Armel Le Cléac’h, Jean-Luc Van Den Heede, Pierre Follenfant, Alain Gautier, Michel Desjoyeaux, Franck Cammas… Observateur privilégié d’une plaisance en perpétuelle mutation, il a toujours été présent au départ des plus grandes courses. À Plymouth, pour la mythique Transat en solitaire, à Saint-Malo pour le départ de la Route du Rhum ou encore aux Sables-d’Olonne pour le départ et l’arrivée du Vendée Globe.

Mais le marin journaliste n’a pas limité ses reportages au seul monde de la course. Il a aussi connu des tempêtes à bord de l’Abeille-Flandre, vécu huit jours dans le phare de Cordouan, participé aux dernières relèves des phares de la mer d’Iroise, régaté sur la célèbre bisquine de Cancale, navigué à Venise devant la place Saint-Marc. Ce tableau serait incomplet sans évoquer son goût pour le patrimoine maritime, l’occasion d’articles sur la dernière clouterie française ou le dernier des maîtres voiliers de tradition, Jean-Pierre Burgaud. Point de nostalgie ici. Rubi – son surnom dans le monde de la voile – nous embarque dans le sillage de ses souvenirs. Pour mieux transmettre, partager.

-L’auteur : Bernard Rubinstein doit sa vocation de journaliste à Éric Tabarly dont il a été l'équipier. Après deux ans d’enseignement des maths, en 1973, il rejoint Pen Duick VI pour participer à la première Whitbread, la course autour du monde en quatre escales, partageant son quart avec Olivier de Kersauson, qui lui donne son surnom. Quarante ans de reportages plus tard, « Rubi » a navigué avec les plus grands marins et à bord de tous les voiliers possibles et imaginables. Il continue de collaborer avec Voile Magazine dont il a dirigé la rédaction, vouant une autre passion aux phares.



 
 
 
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