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- livre : Le temps du 7ème art, les montres au cinéma de Frédéric Lievain aux éditions du Cherche-Midi

le  28/11/2019  



Un détail subtil qui change tout...

L’élégance réside dans le détail, une touche subtile qui change tout. Les montres au cinéma incarnent bien plus qu’un accessoire, magnifique voire même iconique. Si elles permettent de rehausser un costume, elles sont surtout symboliques, soulignent un statut ou se font passeuses d’histoire. Maîtresses du temps, elles sont souvent d’une importance cruciale pour le héros. Lignes de vie ou armes de dernier recours en pleine action, elles contribuent au revirement sans lequel le monde serait perdu.
Certains rôles sont indissociables de leurs montres : impossible d’imaginer James Bond sans ses mythiques Rolex Submariner ou Omega Seamaster au poignet, Steve McQueen sans sa Tag Heuer (montre qu’il détestait mais qu'il porta pour les besoins du film ; il ne jurait que par sa Rolex) ou Ryan Gosling dans Drive sans sa Calatrava.

Parfois, les montres deviennent même des actrices à part entière, telles « the Gold Watch » dans la scène culte de Pulp Fiction (cachée dans l’anus de l’acteur), l’IWC portée par Sophie Marceau dans Anthony Zimmer (de l’art du placement de produit bien fait), ou l’historique Omega, réellement portée sur la Lune par Neil Armstrong et qui apparaît dans First Man : le premier homme sur la Lune, de Damien Chazelle.
Dans cet ouvrage de référence de 160 pages, les montres mythiques sont le guide inattendu pour une visite de l’histoire du 7e art qui réserve bien des surprises. Discrètes ou cultissimes, ces montres sont l’objet d’une fascination qui dépasse les genres et les générations.

-L’auteur : Frédéric Liévain est journaliste, réalisateur, cinéphile, grand admirateur des aventures de l’agent 007 et collectionneur de montres. Il a écrit aux éditions du Cherche midi James Bond, l’espion qui aimait les montres.



 
 
 
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