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- Festival de Cannes : Prix du développement durable au Palais Bulles Cardin à Théoule-sur-Mer

le  10/05/2022  



Les Prix Bulles Cardin seront décernés le 18 Mai prochain au Palais Bulles dans le cadre du 75ème Festival de Cannes, avec la présence de Rodrigo Basilicati Cardin, neveu et héritier du couturier disparu devenu président de la société Pierre Cardin depuis le 29 octobre 2019, autour de la maison Pierre Cardin et ses projets autour du développement durable.

Les Prix Bulles Cardin distingueront chaque année cinq œuvres, personnalités ou actions vertueuses favorisant et encourageant le développement d’une économie-écologique, dont un/une dans la catégorie : un studio de cinéma, un acteur, un producteur ou un réalisateur d’un documentaire.

Le Palais Bulles, à Théoule-sur-Mer, accueillera sa 1ère édition des Prix Bulles le 18 mai prochain. Un symbole du tournant écologique de la maison Pierre Cardin, sous l’ère de l’héritier Rodrigo Basilicati, ingénieur, designer et architecte italien. Seront présents également Yves Denis et Frank Rousseau, membres du Comité "Prix Bulles Cardin".

-Les Prix Bulles Cardin :
Les Prix Bulles Cardin confirment la volonté de la griffe Pierre Cardin de monter en puissance dans sa démarche écologique. Convaincu que « croire que l’humanité productive polluante va inverser le compte à rebours des trois ans annoncés par le GIEC pour inverser le réchauffement climatique, est une utopie », Rodrigo Basilicati Cardin pense que nous devons encourager une nouvelle écologie dynamique qui, osons le dire face à l’urgence : peut et doit être rentable pour être efficace et pérenne. Cette affirmation n’est pas en contradiction avec toutes les actions de protection de la planète.

C’est pourquoi il a décidé de créer les Prix Bulles Cardin (référence au mythique Palais Bulles et à son architecture), qui distingueront chaque année cinq œuvres, personnalités ou actions vertueuses favorisant et encourageant le développement d’une économie-écologique :
1 - Un studio de cinéma, acteur, producteur ou réalisateur d’un documentaire,
2 - une ONG ou un institut très actif dans la défense active et économique de l’environnement,
3 - une action média,
4 - une Université qui dispense un enseignement en faveur de l’économie écologique,
5 - un Prix d’Honneur consacrant l’œuvre d’un(e) expert(e) scientifique ou une personnalité pionnière qui défend une écologie moderne et intelligente.*
*Ce récipiendaire se verra confier la mission de remettre pour cette édition 2022 une dotation de 50.000 € à une startup, organisation ou individu de son choix appartenant à la jeune génération et répondant aux critères d’une nouvelle dynamique économique dans l’écologie.

Cette dotation grossira un peu plus chaque année grâce à la mise en place d’un « Green Wallet », sorte de « tirelire-pot-commun » à laquelle tous les partenaires des Prix Bulles Cardin contribueront tout au long de l’année à la hauteur de leur choix. Pour lui donner toutes les chances de s’épaissir, Rodrigo Basilicati-Cardin a décidé de mettre également à contribution ses 180 licenciés à travers le monde en les incitant à verser un pourcentage (à définir) sur chacun des articles Pierre Cardin qu’ils vendent dans les 40 pays que couvre la marque.

Les Prix Bulles Cardin se dérouleront chaque année à l’occasion du Festival de Cannes. Cette première édition des Prix Bulles Cardin aura lieu le 18 Mai prochain, à partir de 19h30, au Palais Bulles de Théoule-sur-Mer, lors de l’ouverture du 75ème Festival de Cannes. Cette édition très attendue après deux ans de pandémie, bénéficiera d’une tribune médiatique mondiale incomparable : seuls le Grand-Prix de Formule 1 de Monaco et les finales de Rolland Garros en France et du Superbowl aux Etats-Unis peuvent lui être comparés en termes d’audience planétaire, de retombées presse et de networking.
De plus pour la deuxième année consécutive, sous la houlette conjointe de Thierry Frémaux, directeur délégué du Festival ; de la municipalité et de la Région PACA, l’événement est devenu plus green oriented et le Festival confirmera cette année cette tendance en transformant durablement son tapis rouge en tapis vert.

Ce n’est un secret pour personne : en France comme ailleurs, l’impact écologique des activités de la filière audiovisuelle et cinématographique n’est pas encore mesuré ni vraiment pris en compte. Du moins à grande échelle et de façon systématique. Or les métiers exercés dans ce cadre requièrent de l’énergie, du matériel électronique, de nombreux transports, génèrent des déchets et sont fréquemment en contact avec des milieux naturels et urbains sensibles.
Leur impact écologique n’est donc pas neutre. La sensibilisation à l’environnement est aujourd’hui générale, mais le contexte professionnel manque souvent de structure et de cadre de référence pour permettre aux métiers liés au Septième art d’agir et donc d’harmoniser leurs pratiques et leurs préoccupations citoyennes.

Côté « propagande écologique positive », l’industrie cinématographique produit de plus en de films engagés en faveur de la survie de la planète. La diffusion à l’échelle mondiale d’un film comme Une vérité qui dérange d’Al Gore en 2006, a définitivement participé à un éveil des consciences sur les risques liés au changement climatique et l’état des ressources de la planète. Cet impact montre le rôle important que peut jouer un film, fut-il documentaire, pour marquer les esprits. Tout comme aujourd’hui Don’t look up : déni cosmique avec Leonardo Di Caprio. Disponible sur Netflix, ce film montre comme vous le savez le décalage que nous ressentons tous entre la recherche scientifique, les médias et le pouvoir politique.
Il pose aussi les questions de la formation des scientifiques nécessaire à leur expression dans les médias, et de la difficulté de journalistes et des décideurs politiques à intégrer les connaissances scientifiques indispensables à la maîtrise du sujet.

-Une remise de Prix spectaculaire, organique et pédagogique au Palais Bulles de Théoule-sur-mer.
Lors de la remise de ces Prix Bulles Cardin, nous envisageons de projeter en mapping géant sur l’architecture organique du Palais des images captées par les satellites du programme Copernicus. Pourquoi ces images d’une précision époustouflante et surprenantes par leur beauté ? Tout simplement parce qu’elles constituent autant d’éléments de preuves d’observations directes sur les multiples pollutions qui détruisent notre planète à petit feu.

En les exposant sur le Palais Bulles, nous souhaitons encourager une culture visuelle pédagogique accessible à tous de l’état de santé de notre Terre, que nous développerons tout le long de l’année sur notre site Internet et les réseaux sociaux.
Ces projections serviront également de support à Yvan Baillion de chez Thales Aliena Space avant la remise des Prix Bulles Cardin, pour nous expliquer combien il est capital aujourd’hui d’observer la planète depuis l’espace, et ainsi développer auprès du grand public une vision de notre planète moins décorative mais plus réaliste.



 
 
 
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