- festival : Solidays 2022 - 23 nouveaux noms (jusqu'au 26 juin 2022)

le  24/06/2022  



ORELSAN, DAMSO, BLACK EYED PEAS, -M-, JUSTICE...


« Love is back ». Plus qu’un manifeste, c’est un cri de ralliement que Solidays lance à ses fans. Rendez-vous est pris le 14 décembre à 14h pour l’ouverture des billetteries. En voilà une bonne idée cadeau à quelques jours de Noël. Surtout qu’OrelSan, Damso, Black Eyed Peas, -M-, Justice et beaucoup d’autres sont annoncés dans la hotte.

À part 12 000 (heureux) soignants le 4 juillet dernier, voilà bientôt trois ans que les allées de Solidays restent désespérément vides. Heureusement, de joyeuses retrouvailles s’annoncent en juin prochain. Et pour ses 30 ans, Solidarité Sida voit les choses en grand ; côté coulisses bien sûr, avec de nombreuses surprises, mais aussi côté scènes, avec de belles exclusivités et des invités de marque.

La preuve. Précédé par l’odeur de l’essence, brûlant tous les records sur son passage, le nouveau maître du « rap game » français, ORELSAN viendra défendre son manifeste militant « Civilisation » à Longchamp. Une grande première à ne pas manquer, d’autant que ses 5 Bercy sont déjà complets.

Dans la série des immanquables, c’est un autre phénomène qui a choisi Solidays pour son unique date parisienne. Le prolifique et mystérieux DAMSO est une « bête de scène » comme on en voit peu. Des punchlines crues et percutantes, un flow abrasif qui déhanchent les foules et marquent les esprits. À ces 2 poids lourds s’en ajoutent 3 autres. Ils sont californiens, cumulent 6 Grammy Awards et plus de 35 millions d’albums vendus. Avec leurs hits planétaires, les BLACK EYED PEAS s’invitent à la fête aux côtés de JUSTICE, le plus rock des duos électro. Eux non plus n’avaient jamais joué à Solidays jusqu’alors. On ne peut parler d’amour sans celui qui dit « aime et le sème » depuis plus de 20 ans. Soutien fidèle, l’inébranlable -M- fera son grand retour à Longchamp avec un incroyable live.

Pour compléter ce tableau des légendes, les déjà « sensations » et futurs très grands se taillent la part belle. Du maître masqué de la scène électro mondiale BORIS BREJCHA à la découverte qui a enchanté le monde avec son tube « Love Nwantiti » CKAY, en passant par la pépite rap PLK, la plus festive des fanfares techno MEUTE, l’ovni pop-EDM SUZANE ou les dandys rocks FEU! CHATTERTON… Tous seront là pour donner du sens à la fête et des couleurs à la solidarité.

*Alors pour Noël, offrez (vous) un Pass Solidays. Les billetteries ouvriront le 14 décembre à 14h. Fidèle à son habitude, Solidarité Sida mettra en vente 25 000 Pass 3J à partir de 39€. L’ensemble des autres Pass sera également disponible.

-27 nouveaux noms à l'affiche :
Plus que jamais, Solidays entend faire battre le cœur des festivaliers au rythme d’une fête effrénée. La première annonce était gargantuesque. La seconde plutôt gastronomique avec de merveilleuses pépites. Pas étonnant que les billetteries soient en surchauffe…

Un vent de renouveau se dirige vers Longchamp. Dans ses rangs, une cohorte de révélations immanquables. Côté rap, tout d’abord, avec GAZO, LE porte-flambeau de la drill made in France, OBOY et son flow tout-terrain, 47TER et leur rap pop ensoleillé, SOPICO, l’auto-proclamée fusion de Nirvana et Wu-Tang, ou encore SOSO MANESS, le créateur officieux du rap sauce EDM. L’électro, c’est saupoudrée de groove qu’elle se dégustera, grâce au showman multi-instrumentiste MEZERG, au déjanté génie de l’impro MARC REBILLET, ou encore au love dj FOLAMOUR A/V SHOW. Quant au rock, c’est dans la langue de Shakespeare qu’il résonnera avec les « soul brothers » de BLACK PUMAS et les anglais de THE MURDER CAPITAL. YSEULT, RONISIA, EMMA PETERS et NOVEMBER ULTRA représenteront quant à elles la pop 2.0, celle qui s’affranchit des codes et des genres pour se présenter dans tous ses états – rock, urbain ou encore folk.

Solidays ne serait pas Solidays sans les merveilleuses pépites et découvertes qui se révèlent chaque année comme des bêtes de scène d’ores et déjà accomplies. Alors croyez-nous lorsque l’on vous dit que vous « pogoterez » grâce aux riffs électriques de STRUCTURES et à la techno dark des inclassables GARGÄNTUA, que vous « headbangerez » en chœur avec la pépite afro-transe BCUC, que vous « shakerez vos booties » grâce au kuduro de l’inépuisable PONGO et que vous vous envolerez sur les délicates perles-chansons de STÉPHANE.

Leurs premiers passages furent magiques, bouillants, inoubliables… C’est peu de dire que nous attendons leurs retours avec impatience. Celui de EDDY DE PRETTO, désormais pilier du paysage musical français, de GAËL FAYE qui fait de la poésie une fête, de NISKA, incontournable depuis son fameux tube « réseaux », de RILÈS, joyeux drille plus survolté que jamais… Sans oublier SKIP THE USE, entrainé par l’incroyable Matt Bastard, VICTOR SOLF, maître des pépites soul ou encore JAHNERATION qui fait rimer reggae et français avec brio, à l’instar de BIGA*RANX, le plus international des reggaemen français.

Ils rejoignent ORELSAN, BLACK EYED PEAS, DAMSO, JUSTICE dj set, -M-, POLO & PAN, RONE solo, MEUTE, PLK, SUZANE, BORIS BREJCHA, FEU! CHATTERTON, CKAY.

-23 nouveaux noms :
Pas de répit pour les fans de Solidays. Des têtes d’affiche toujours plus nombreuses et de belles pépites montent à l’affiche gargantuesque de cette 24e édition. Pas étonnant que 2 jours sur 3 affichent déjà (presque) complet.

Il faudra le voir pour y croire. 25 ans et déjà 127 singles d’or, 48 de platine et 25 de diamant, NINHO aka le jefe du rap français rejoint le line-up du festival en exclusivité. Comme une dinguerie n’arrive jamais seule, LETO, la trapstar de la Porte de Saint-Ouen, inondera Longchamp de soleil grâce à ses beats mâtinés de reggaeton et de rumba congolaise. Pas loin, le Rennais échappé du collectif Columbine, LUJIPEKA, débarquera avec son flow à fleur de peau. Solidays n'arrête plus de gagner en street cred’.

Vous les attendez chaque année. Place aux jeunes pépites. À commencer par TSEW THE KID, le rap-conteur au R’n’B de lover qui fait déjà danser aux quatre coins du globe. La Belgique, encore une fois, nous parachute une étoile : SASKIA, avec ses mélodies envoûtantes et engagées qui feront écho sous les chapiteaux. Les oreilles prudes n’en finiront pas de rougir avec KALIKA et MARA qui affirment leur féminité sans langue de bois. Sauve-qui-peut les boomers. BABYSOLO33 débarquera et nous embarquera dans son rap 2.0 tout droit sorti d’un Skyblog. Quant à BRÖ, elle viendra pulvériser les codes grâce à sa plume lovée.

Qui a dit que le rock était mort ? Certainement pas AYRON JONES qui déboule, lui, de Seattle avec ses riffs de guitare électrique pour un show de grunge brut aux accents soul et funk. Revirement reggae-dancehall, avec BLAIZ FAYAH, véritable ambianceur solaire, qui nous prouve que le reggae français a encore de beaux jours devant lui.

Sous le ciel étoilé de Solidays, les cœurs vont pulser à 120 BPM. ANN CLUE, prêtresse de la minimale allemande, retrouve son alter techno Boris Brejcha pour nous faire taper du pied jusqu’à l’aube. Le quadruple nominé aux Grammys, l’éternel DUBFIRE, sera aussi de la party. La scène hexagonale n’est pas en reste avec un tout nouvel arrivage acide à souhait : l’anticonformiste I HATE MODELS et ses samples passés au bulldozer, DARZACK le showman percussif, la très sérieuse MILEY SERIOUS, la pépite sans frontières ONYVAA, et le mentor de toute une génération, ANTIGONE, premier français à avoir signé sur le label de Nina Kraviz. Parce que le love donne des ailes, les festivaliers n’auront pas fini de planer. Promesse d’un voyage transcendantal made in France, à la croisée de la techno, de la deep et de la transe en compagnie du duo parisien KAS:ST. La montée sera exponentielle avec l’hypnotique NTO jusqu’à l’acmé symphonique, proche du Big Bang, déclenché par l’objet musical non-identifié ATOEM.

Les collectifs les plus solaires de la nuit viendront faire de Solidays un dancefloor géant. Ils savent ambiancer comme jamais. Les joyeux et déjantés de VIENS LA FÊTE passeront tous les grands classiques de la fête. Alerte incendie, la température va monter d’un coup, la sueur va perler sur les peaux brûlantes devant l’ambiance clubbing caliente de LA CREOLE. Eh oui, c’est ça aussi, Solidays. Du cagnard même la nuit.