en 
 
 
cinema
Musique concerts festival   > actu < sorties

 
 

- The Publicists : Rentrée 2022

le  09/09/2022  



Une rentrée riche sous le signe de la musique et de la scène.

-Cabaret pour la réouverture du Lido2Paris :
Wilkommen, Bienvenue, Welcome… au Lido2Paris ! Pour sa réouverture, la célèbre salle des Champs-Elysées propose, sous la direction artistique de Jean-Luc Choplin, une nouvelle production de Cabaret, mise en scène et scénographiée par Robert Carsen (Singin’ in the Rain, My Fair Lady au Théâtre du Châtelet mais aussi des dizaines d’opéras à Bastille, Garnier et dans le Monde entier).
Ce sera la première fois que ce musical culte sera donné à Paris dans sa version originale. 60 représentations exceptionnelles dans un lieu mythique… le spectacle à ne pas manquer pour la fin d’année 2022.
*Cabaret, Le Lido2Paris, à partir du 1er décembre 2022.

-Monica Bellucci pour Lettres et Mémoires de Maria Callas :
Après le succès de ses débuts au théâtre à l'automne 2019, Monica Bellucci reprend les Lettres et Mémoires de Maria Callas au Théâtre du Châtelet pour deux soirées exceptionnelles les 14 et 15 novembre 2022.
Depuis les dates du Studio Marigny, le spectacle a tourné dans le monde entier et a rencontré un succès unanime de Londres à Venise, aussi bien en français, en anglais ou en italien.
A Athènes, l'année dernière, une version avec orchestre a été créée par Tom Volf. C'est cette version inédite à Paris qui sera donnée au Théâtre du Châtelet avec l'Orchestre Lamoureux sous la direction de Philippe Forget.
A la suite de ces deux dernières parisiennes, Monica Bellucci clôturera sa tournée par deux représentations à New York et à Los Angeles.
Ces lettres, je me mets à leur service. J'espère juste que ma voix pourra transmettre ne serait-ce que la moitié de la moitié des émotions qu'il y avait en cette femme – Monica Bellucci
*Lettres et Mémoires de Maria Callas, à Paris, New York et Los Angeles avec Les Visteurs du Soir.

-Isabelle Adjani pour Le Vertige Marylin :
Après des premières triomphales à Paris (Théâtre de l'Atelier) et en tournée (les Festivals de Ramatuelle et de Lacoste), Isabelle Adjani reprend la route avec Le Vertige Marylin et s'arrêtera à la Salle Pleyel le 31 mars 2023.
60 ans après la mort de Marilyn Monroe, l'écrivain Olivier Steiner a imaginé une discussion entre les deux icônes du cinéma qu'il admire : Marilyn Monroe et Isabelle Adjani. Ce dialogue imaginaire entre ces deux sommités du monde des arts et de la scène, puise dans la toute dernière interview qu'a accordée Marilyn avant sa mort et dans divers entretiens d'Isabelle Adjani.
Une femme dans une somptueuse robe noire est déjà là sur le plateau au moment où les spectateurs entrent, on l’aperçoit à contre-jour. Elle se trouve au centre d’une installation métallique qui ressemble à une tour de Babel. On entend sa voix au téléphone, qui est-elle ? Isabelle Adjani ? Marilyn Monroe ? Les deux ? Aucune ? Qu’est-ce donc ? Du théâtre ? Une cérémonie païenne ? Une incantation ? Un appel sous forme de poème en prose ? C’est l’histoire d’une étoile qui vacille.
*Le Vertige Marylin, en tournée et à la Salle Pleyel le 30 mars 2023 avec TS3 et Les Visiteurs du Soir.

-Jacques et Thomas Dutronc :
Jacques et Thomas Dutronc, père et fils, ont décidé de se retrouver pour la première fois, sur scène et au disque. Leur tournée, débutée en avril dernier reprendra début novembre à travers toute la France dans les Zénith et Aréna avec comme point d’orgue une date exceptionnelle le 21 décembre à l’Accor Arena de Paris.
L’album studio paraîtra le 4 novembre chez Polydor. Les deux artistes y reprennent ensemble leurs grands standards.
« C’est un immense bonheur de vivre cette aventure avec mon père, cela fait longtemps que j’avais ce projet en tête. Que ce soit sur scène ou en studio, j’avais très envie de revisiter ces titres mythiques, de les moderniser tout en conservant cet esprit sixties » Thomas Dutronc.
*Dutronc & Dutronc, en tournée et le 21 décembre à l'Accor Arena de Paris. Album le 4 novembre chez Polydor.

-Imany :
Depuis dix ans, la voix grave d’Imany séduit le public français au rythme de compositions nourries de ses inspirations Soul, et Blues. Avec le triomphe de ses deux premiers albums (Double Platine et Platine), de la BO du film Sous Les Jupes des filles et des deux singles Don’t Be So Shy (Diamant) et You Will Never Know (Or), Imany enchaîne les succès partout dans le monde. Imany revient aujourd'hui avec une édition Deluxe de son album concept VOODOO CELLO sorti l'an passé.
Imany choisi de réunir huit violoncelles autour d’elle pour un album de reprises qui deviennent, sans oublier leurs racines, ses propres chansons au service de ses convictions. Huit violoncelles et une seule voix, personne n’a jamais osé le faire. Une lubie ? Pas du tout. Huit violoncelles, c’est une multitude de possibilités entre le grave et l’aigu : « Parfois, on a l’impression qu’ils peuvent être des cuivres ou des guitares électriques... Comme s’ils étaient hantés. »
Le choix des chansons se fait vite, entre classiques qui l’habitent depuis toujours et coups de cœur plus récents. « Le principe d’une bonne cover, c’est que la chanson devient la vôtre. Quitte à rendre plus profond un titre tout en légèreté, ou offrir de la lumière à certains titres mélancoliques, grâce à un son longuement façonné mais d’une immédiate spontanéité, brut sans être abrupt, cristallin sans être lisse. »
Fort du succès de ce troisième album studio VOODOO CELLO sorti en 2021, et d’une grande tournée à guichets fermés du spectacle avec plus de 60 dates déjà, dont 1 théâtre du Châtelet, 2 grand Rex et un Olympia le 17 avril 2023, Imany sortira le 21 octobre une réédition de l’album. Cette version Deluxe contiendra 6 titres bonus dont quatre titres inédits et deux remixes inédits de Bob Marley à Jazmine Sullivan en passant par Tones and I et Donna Summer.
Le sort est jeté, nous sommes ensorcelés !
*Imany, Vodoo Cello Deluxe Edition, le 21 octobre chez Think Zik !.

-Yaron Herman :
" Improviser sur un motif, une phrase musicale, une grille ou même sur un riff, c'est tout l'art des grands musiciens et des jazzmen en particulier.
Mais que se passe-t-il lorsque la page est totalement blanche ? Lorsqu'il n'y a aucun prétexte au moment de poser ses doigts sur le piano ? Lorsqu'il s'agit juste de rompre le face-à-face avec le piano, de poser ses doigts sur l'instrument et de laisser juste la musique se faire ?
C'est tout l'enjeu de cet album en solo de Yaron Herman, le premier 16 ans après " Variations" (Laborie).
Lorsqu'il entre en studio, Yaron Herman y vient les mains vides, sans aucune partition et sans la moindre idée sur ce qu'il va jouer. Il s'agit juste de laisser les micros ouverts et de se laisser porter par l'état de son âme.
Et c'est alors la magie de la première note, celle qui va générer le flow. N'y voyez pas une interaction introspective entre le pianiste et le piano mais au contraire une forme alchimie que les mots peinent à expliquer. Car tout est dans l'instant où la musique se joue. Dans la tête et au plus profond des sentiments du pianiste qui trouve sur le clavier le plus puissant des langages.
Ce que vous allez entendre n'a pas de préconçu. Yaron Herman y a puisé dans son inspiration personnelle et parfois dans des thèmes qu'il avait, sur le moment envie de jouer comme le standard All the things you are, deux thèmes de Eviatai Banar et de Matti Caspo ainsi que le sublime Apres un rêve de Gabriel Fauré dont Yaron Herman s'inspire pour l'emmener sur le territoire de son ressenti.
L'improvisation n'est pas alors une digression ni même une transgression. L'improvisation sous les doigts de Yaron Herman est juste l'expression instantanée de son âme. De ce supplément d'âme que les seuls les très grands musiciens donnent à entendre dans un moment de liberté fondamentale et d'intimité partagée. "
*Yaron Herman, Alma, le 14 octobre chez naïve et en concert le 5 novembre au Théâtre de l'Athénée.

-John Williams :
Vous vous souvenez sans doute de thèmes de films tels que Star Wars, Harry Potter, E.T., Les Dents de la Mer, Jurrassic Park ou encore Indiana Jones ? Un seul nom pour autant de blockbusters : John Williams. Avec plus de 100 nominations dans le monde, il est la deuxième personne la plus nommée aux Oscars derrière Walt Disney. Grâce à ses nombreuses collaborations avec les plus grands réalisateurs tels que Steven Spielberg ou George Lucas, John Williams est le compositeur de film le plus titré de tous les temps : 5 Oscars, 4 Golden Globes et 24 Grammys.
Nous vous proposons de redécouvrir les plus grands chefs-d’œuvre de ce compositeur inégalable, qui affiche une carrière couvrant plus d’un demi-siècle de cinéma ! Pour ce spectacle, le chef d’orchestre et compositeur Matthias G. Kendlinger et son orchestre Philharmonique K & K « Made in Austria », vous feront voyager dans l’univers fascinant du génie de John Williams. Volez dans l’espace à la vitesse de la lumière, plongez dans les profondeurs des mers et laissez-vous envoûter par la magie de cette musique intemporelle. Des concepts d’éclairage variés et sensibles souligneront la performance des artistes et feront briller la musique. Un concert captivant, émotionnel et puissant.
*The Very best of John Williams en tournée du 8 au 12 octobre avec Gérard Drouot Productions

-Nikki Yanofsky :
Nikki Yanofsky revient là où tout a commencé.
Pas seulement dans sa propre vie, en tant que chanteuse prolifique et appréciée qui a débuté sa carrière dans le monde du jazz et a collaboré avec des icônes comme Quincy Jones, Herbie Hancock ou encore Stevie Wonder, mais aussi dans un sens plus large.
Son nouvel album, « Nikki by Starlight, » est une réinterprétation moderne du « Great American Songbook », avec des arrangements originaux et de nouvelles interprétations vocales.
Avec ce dernier disque, Nikki Yanofsky a créé une sorte de capsule temporelle dans laquelle elle imagine comment elle aurait enregistré ces standards, si elle avait été une artiste à l'époque où ils ont été écrits. Même en enregistrant sur un RCA 77C vintage, le microphone utilisé par Ella Fitzgerald, la touche musicale de Nikki Yanofsky fait entrer le Great American Songbook dans le 21ème siècle, offrant une chance aux nouveaux publics et aux fans existants de tomber amoureux de son style distinct.
On y retrouve un mélange de ballades, de morceaux uptempo et de sambas. De plus, toujours prête à relever un défi, elle a choisi des titres réputés difficiles à chanter. Est entouré de certains des meilleurs noms du secteur pour l'accompagner : Greg Phillinganes est présent sur "Crazy He Calls Me" et "West Coast Blues", Nathan East joue de la basse sur "Quiet Nights of Quiet Stars", et l'emblématique Arturo Sandoval fait même une apparition avec sa trompette sur "Estate".
*Nikki Yanofsky, Nikki by Starlight, le 21 octobre.

-Stéphane :
Elle s’appelle Stéphane. Et rien que son prénom dit tout de ses contrastes. Suisse par des parents mélomanes, la jeune artiste baigne dans la musique depuis petite, se passionnant alors pour la guitare avant d’écrire, plus tard, ses propres chansons. Pour elle, c’est l’évidence. Armée d’une énergie brute, une insolence rock’n’roll et une tendre poésie, Stéphane raconte aujourd’hui ses histoires, et celles des autres comme si elles étaient siennes. Avec un naturel désarmant, elle devient finalement celle qu’elle doit être. Comme si c’était écrit.
A 25 ans, Stéphane, toujours accompagnée de sa guitare, est prête à proposer son univers musical à la fois rafraîchissant et élégant, à travers les chansons de son premier EP, réalisé par Corson et Boban Apostolov. Après avoir dévoilé une partie de son univers sur ses premiers titres « Douleur je fuis » et « Green Dream », Stéphane nous partage un premier EP éponyme : STÉPHANE.
Avec ses premières chansons éclatantes, Stéphane impose avec évidence ses multiples talents, sans s’excuser d’être là. Là pour longtemps.
*Premier album prochainement. En tournée

-Jules Jaconelli :
Auteur et compositeur pour de nombreux artistes Jules Jaconelli propose dans son premier disque « Velours liquide" un recueil de chansons fraîches et pétillantes qui font tourner la tête et le cœur.
L’impression générale d’abord : ce premier album de Jules Jaconelli distille un agréable parfum d’inédit. Pourtant, non sans modestie, il reconnaît : « Mes influences sont Souchon, beaucoup, et Benjamin Biolay aussi » La voix ensuite : bien posée, à la fois jeune et mûre comme une figue fraîche. Comme cette dernière, elle détient des grains légèrement acidulés qui concurrencent agréablement la chair sucrée, joyeuse, presque insouciante d’une tessiture qui, mine de rien, en impose. C’est évident : la voix de Jules Jaconelli vous enveloppe, vous séduit, vous fait rêver. Mais elle s’impose sans brutalité aucune, sans affèteries, sans effets. Car elle possède, comme l’eût dit Hugo, ce petit éclat de mélancolie légère, de nostalgie discrète : « La mélancolie : ce bonheur d’être triste. » Les mélodies et les harmonies qu’il compose sont du même bois (rare, donc précieux). Il fallait semer de belles graines littéraires dans ce terreau musical si singulier. Quoi de mieux que les mots du parolier Pierre Grillet (« Madame rêve, de Bashung, c’est lui ; il a également écrit pour Feist et Vanessa Paradis) pour épouser les sensuels contours des notes de Jules ? Ensemble, ils viennent de faire pousser les chansons d’un album qui serait comme un vent de saudade sur une plage du Sud Portugal, ou comme une soirée de samba moite au plein cœur du Brésil.
*Nouveau single « Lâcher prise » le 23 septembre : Jules Jaconelli, Velours liquide, Choi Musique.



 
 
 
                                                      cinema - theatre - musique