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- expo : Daniel Convenant – Au-delà des abysses à la Galerie JPHT (jusqu’au 27/04)

le  22/02/2018   au Galerie JPHT - 1er étage, 4 rue de Saintonge 75003 Paris - sur rendez-vous uniquement au 06 08 25 45 97 (Jean-Philippe Thérond)

Mise en scène de Jean-Philippe Thérond et Daniel Convenant avec des peintures écrit par ou plutôt peint par Daniel Convenant


*Information importante : La galerie JPHT déménage d’un étage !
Durant trois ans d’une activité soutenue, nous avons satisfait un large public, vous, tout comme nous nous sommes attachés à accorder aux artistes la meilleure audience, la meilleure visibilité.
Pour poursuivre cet élan passionné, nous modifions la structure d’accueil : la galerie organisera désormais ses expositions dans le cadre intime et suranné d’un superbe appartement, situé au 1er étage de l’hôtel particulier qui l’héberge déjà au 4 rue de Saintonge (Paris III).
Pour venir nous voir, il vous suffira de vous rendre à l’adresse du 4 rue de Saintonge (Paris, III) et d’emprunter le majestueux escalier qui vous mènera au premier étage. Nous vous y accueillerons avec plaisir. Les soirs de vernissages et de finissage, l’accès sera libre. Les autres visites se feront sur rendez-vous, au 06.08.25.45.97


Daniel Convenant - au-delà des Abysses (exposition de peintures) du jeudi 22 Février 2018 au jeudi 01 Mars 2018 sur place, 1er étage, 4 rue de Saintonge 75003 Paris

*Vernissage le jeudi 22 Février 2018 de 18h30 à 22h30 en présence de l’artiste
*Décrochage le jeudi 01 Mars 2018 de 18h30 à 22h30 en présence de l’artiste

*Exposition virtuelle du jeudi 22 Février 2018 au jeudi 27 Avril 2018 sur le site.

-Au-delà des Abysses :
Courant tellurique, symbole de la force des cycles de la vie et du chemin parcouru, le bitume et ses nuances multiples se transforment en mouvements à la fois légers et fluides, impétueux et dévastateurs. Sa chaleur et sa profondeur le font passer de l’harmonie à l’explosion, de la fragilité à la puissance, de la douceur à la violence et à l’apaisement quand le geste libère l’intensité de ce que ressent le peintre.
Un regard intérieur, une vision de la frontière entre l’obscurité et la clarté, la dualité de cet équilibre. Horizon d’un univers inconnu, interrogation permanente….
Le pinceau extension de sa main devient le souffle de la vie, du temps qui passe et qui déjà n’est plus. La peur du vide disparaît. De l’ombre surgit la lumière. -
Pascale G



 
 
 
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