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- expo/vidéos : La rivière m’a dit – FRAC / Ile de France au Plateau à Paris (jusqu’au 14 avril 2019)

le  24/01/2019   au Plateau/Paris, 22, rue des Alouettes 75019 Paris (ouvert du mercredi au dimanche de 14h à 19h - nocturnes « plateau-apéro » chaque 1er mercredi du mois, jusqu’à 21h - entrée libre)

Mise en scène de Xavier Franceschi avec des œuvres de Melanie Bonajo, Charlotte Cherici, Nashashibi/Skaer, Ben Rivers, Ben Russel, et Margaret Salmon écrit par ou plutôt réalisé par Melanie Bonajo, Charlotte Cherici, Nashashibi/Skaer, Ben Rivers, Ben Russel, et Margaret Salmon


Du 24 janvier au 14 avril 2019, le Frac Île-de-France présente au Plateau La Rivière m’a dit, une exposition composée exclusivement de vidéos pour la plupart issues de la collection du Frac, qui se déroule comme un long poème visuel dans les espaces plongés dans le noir : un paradis perdu ou bien, plus positivement, un espace providentiel de vraie régénérescence.

*Vernissage le mercredi 23 janvier de 18h à 21h


Qu’il s’agisse d’un étrange voyage à Tahiti sur les traces de Gauguin, du portrait d’un solitaire reclus au milieu des bois philosophant sur l’origine et le destin de l’humanité, de l’apprentissage en pleine forêt de la faune par des enfants, d’une scène confinant au mythe montrant un groupe d’hommes, de femmes et d’enfants se baignant dans une rivière, des portraits de quatre femmes engagées dans des formes de vie à rebours des conventions établies, ou bien des enregistrements et visions de séances de guérison en Amazonie péruvienne, l’exposition donne à voir une série d’œuvres au sein desquelles la nature, de diverses manières, occupe une place primordiale.
Aborder la question de la nature nous place inévitablement dans une perspective plus que sombre. Le désastre écologique annoncé devient jour après jour une réalité plus insupportable, alors que l’homme ne parvient toujours pas à redéfinir son rapport vital au monde.
Sans que l’exposition et les oeuvres elles-mêmes adoptent nécessairement des partis pris ouvertement politiques et écologiques, La Rivière m’a dit propose un parcours qui, s’il est teinté de nostalgie et semble se faire l’écho d’un paradis perdu, semble indiquer d’autres voies possibles.

Composée exclusivement de vidéos pour la plupart issues de la collection, La Rivière m’a dit se déroule comme un long poème visuel dans les espaces plongés dans le noir du Plateau : un paradis perdu ou bien, plus positivement, un espace providentiel de vraie régénérescence.



 
 
 
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