- livre : Paul Guillaume de Sylphide de Daranyi aux éditions Flammarion

le  13/09/2023   au x éditions Flammarion

Mise en scène de Sylphide de Daranyi avec 250 pages écrit par Sylphide de Daranyi

Biographie

« Tous les Parisiens connaissent la boutique de la rue la Boétie où une devanture toujours pittoresque assemblait des masques nègres, des bijoux éthiopiens et des toiles de Kwapil, Derain, Vlaminck, Chirico, Utrillo. » - La Femme de France, 1934

Charmeur, ambitieux, visionnaire, homme d'affaires, infatigable organisateur, plein d'entregent, aimé de certains artistes, peu estimé par d'autres dont il vendait pourtant des oeuvres, passionné de peinture mais aussi des arts d’Afrique et d’Océanie, doué d'un oeil certain, ayant un pied de chaque côté de l'Atlantique.
Qui était vraiment Paul Guillaume ? Jeune homme issu d’un milieu modeste, il est devenu l’un des marchands, défenseurs et collectionneurs d’art moderne et d’art africain les plus importants de l’Europe des années 1914-1934, vivant entouré d’œuvres de Modigliani, Soutine, Matisse ou encore Picasso. Quelle ambition l'a poussé toujours plus loin, jusqu'à vouloir laisser une trace dans l'histoire ?
Trois rencontres majeures ont émaillé son existence et ont été décisives dans l’ascension fulgurante de ce redoutable homme d’affaires, celle du poète et critique Guillaume Apollinaire, du collectionneur américain Albert Barnes, et de son épouse Juliette Lacaze.

À travers son histoire, découvrez le destin des plus belles œuvres d'art du XIXᵉ et du début du XXᵉ siècle que l’on peut admirer au musée de l’Orangerie (et bien au-delà).
*Exposition Modigliani au musée de l'Orangerie (du 20/09/23 au 15/01/24)

-L'auteure : Sylphide de Daranyi, historienne et historienne de l’art, a travaillé au musée du Louvre et à l’Agence France-Museums. Ancienne responsable des archives, de la bibliothèque et de la documentation du musée de l’Orangerie, elle a collaboré aux expositions : Apollinaire, l’oeil du poète, La Peinture américaine des années 30, Dada Africa et Nymphéas. L’abstraction américaine et le dernier Monet.